Nous ne pouvons hélas visiter l'ancienne mine de chrome de la Tiébaghi qui fut la plus grande et la plus riche du monde dans les années 50. Ce sera pour une autre fois car il nous faut obligatoirement un guide qui n'est pas disponible aujourd'hui. La route étroite serpente entre les collines de niaoulis, la savane, les marais plus ou moins asséchés et les cocotiers du bord de mer. Nous nous arrêtons pour contempler un troupeau de biches craintives.
La route vient buter sur le village de pêcheurs de Poum. Au loin des îles et plus loin encore l'archipel des Belep.
Ici la vie est paisible, bien loin de l'agitation et des préocupations de Nouméa: un bout de monde au temps suspendu...
samedi 20 décembre 2008
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