Ici on vit presqu'en autarcie et voici l'abattoir-boucherie avec un cabri entier.
Le pick-up est roi et sa benne contient la panoplie indispensable: fusil à lunette dans son coffret, sabre d'abattis, paire de Crocs, glacière et quelques bouteilles de bière vides au fond. Malgré l'interdiction, la benne reste un moyen de transport utilisé dans les îles et certains coins du nord et de l'est mais plus à Nouméa, les accidents étant meurtriers.
Les mélanges de races donnent des enfants magnifiques.
Le soir, nous partons en pick-up à la chasse au cerf. Nous restons à l'intérieur pendant que dans la benne prennent place un éclaireur à la lampe très puissante et un tireur. Le gibier pris dans le faisceau lumineux reste un court instant interdit, les yeux seuls reflétant la lumière. Notre tireur très expérimenté n'a besoin que d'une balle dans le cou pour tuer net ce jeune mâle sans le faire souffrir ni l'abîmer. Nous rentrons ensuite déguster la délicieuse cuisine d'Alain (le fils) et les grillades de cerf de Raymond (le père).
La tablée moins trois enfants partis jouer, prête pour le diner. Le lendemain matin, la pluie commence à tomber à 7 heures et ne s'arrêtera que quatre jours plus tard. Nous rentrons donc sur Nouméa en ayant bien profité du samedi. Merci à Chantal, à droite pour l'organisation.
vendredi 26 août 2011
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