L'exploitation du bois est très mécanisée et semble ravager la nature. En fait, tout est reboisé très rapidement.
Le vol devient très turbulent alors que nous approchons de la finale vers l'eau. Après deux tentatives, la pilote décide sagement de renoncer et de faire demi-tour. Je décide donc d'être malade et c'est Marie-France qui prendra des photos pendant mon agonie.
Retour sur Rotorua du convoi sanitaire. Cela dit, l'hydravion en lui-même était très sympa. Nous quitterons la région le lendemain. Nous sommes bien conscients qu'il y a encore beaucoup de choses à faire et à voir, même si le coin est très (trop?) touristique.
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