LIFOU 3

Voici la photo qui me sert maintenant de fond d'écran. Robin a passé son temps dans l'eau sur cette magnifique plage de Peng. Le site est menacé par le projet de construction d'un hotel Méridien qui prendrait toute la plage qui n'est pas très étendue.

Un grand moment: Un repas de langoustes fraîches au "snack du bout du monde" sur la cote sud-est. Un régal dans un cadre enchanteur et très simple: trois tables surplombant une crique avec vue sur des îlots. Nous avons même aperçu l'île de Tiga au fond où j'aimerais aller un jour en monomoteur.

Une image de carte postale qu'il faut savourer car on ne trouve de belles plages comme ça que très loin de Nouméa.

Le second gite où nous prenons notre petit déjeuner dans la salle commune.

LIFOU 2

Ce qui frappe lorsqu'on conduit, c'est l'absence presque totale de panneaux indicateurs (l'aéroport n'est jamais mentionné), ce qui permet de demander souvent son chemin à la population locale toujours très serviable. Nous partons au nord-est admirer le point de vue depuis les falaises de Jokin et nous baigner au pied.

La magnifique plage de Luengoni nous est réservée(il n'y a personne!) avec son sable très blanc et très fin.

Nous avons opté pour l'hébergement en tribu, c'est à dire dans une case construite par la famille qui nous reçoit très agréablement. Nous sommes les seuls et à 10m de la plage!

Plein les yeux! Ne pas oublier la crème solaire et les lunettes de soleil.

LIFOU 1

Nous partons pour deux jours et demi à Lifou, la plus grande île des Loyauté (plus étendue que la Martinique), située à 180 km au nord de la grande terre.

Nous embarquons à l'aéroport de Magenta d'où partent tous les vols domestiques sur un ATR72 d'Air Calédonie.

Dès le décollage, nous survolons des îlots qui nous mettent dans l'ambiance.

Après 40 minutes de vol, c'est l'arrivée à Lifou où nous récupérons un voiture de location.

Interlude...

Petit rappel technique: si vous voulez voir les photos en taille supérieure et/ou les enregistrer, cliquez simplement dessus et elles s'ouvriront dans une nouvelle fenêtre.
Merci à ceux qui savent pour leur patience.

Un nouveau venu à la maison

Voici Houbi, chaton de moins de deux mois perdu dans le lotissement et qui semble avoir trouve une famille.

Il est couvert de puces mais semble en très bonne santé. Marie-France et Robin en sont gagas.

Le musée maritime

Que faire le week-end lorsqu'il pleut à verse? Il n'existe plus qu'un cinéma multiplex et quelques musées dont celui-ci installé sur le port et fort interressant.





















Une belle exposition temporaire sur les phares au premier étage. Visible par beau temps depuis Nouméa se trouve le second plus grand phare du monde construit en métropole et monté sur l'îlot Amédé, d'où son nom.

La tour de controle de La Tontouta

Vue en contre-plongée du batiment construit au milieu des années 50 avec les installations techniques, les bureaux de la Circulation Aérienne et les locaux vie au-dessous. Le Bureau de Piste, la Météo et la Direction sont dans un autre batiment de l'autre côté de l'aérogare.


Décollage d'un Airbus 330 d'Air Calin depuis la tour. On voit la tête de Marie-France en ombre chinoise (avec des cheveux...).

Première traversée de la chaine 4: Canala

La cascade de Ciù est visible de loin et on y accède en voiture au milieu d'une végétation luxuriante. Il faudra revenir car elle se descend en canyonning avec un beau rappel.








Un soudain foisonnement de palmiers royaux.

Première traversée de la chaine 3: Canala

La grande église de Canala sur la côte est.














La vue de la baie de Canala depuis la cascade de Ciù.
D'un sommet proche, on peut apercevoir les îles Loyauté par beau temps.

Première traversée de la chaine 2

Nous attendons au départ de la route à horaires de La Petchikara. Nous avons cinquante minutes pour passer car il n'est pas question de se croiser sur la première partie qui monte au col.











Encore des paysages grandioses et parfois une carcasse de voiture en bas...












Beaucoup de fougères arborescentes, toujours impressionnantes.

Première traversée de la chaine 1

Nous avons une journée de beau tempspour rejoindre la côte est. La route est magnifique et quasi déserte. Dans les creux, on trouve parfois des bambous géants.











La recherche minière est omniprésente et on peut trouver une certaine beauté dans blessures infligées à la terre.














Le musée de la mine à Thio. Le mécano de la Général ou la bête humaine?

Randonnée à cheval

Le circuit était très moyen jusqu'à ce que nous nous engagions dans la rivière avec de l'eau jusqu'au nombril et le cheval nageant en-dessous. Trempés mais heureux.

Le bougna

Voici un plat traditionnel préparé par une mélanésienne et servi par Sylviane qui nous recevait chez elle


Cet emballage de feuilles de babanier contient des légumes(taro, igname, banane poingo...) et du poisson ou de la viande, le tout arrosé largement de lait de coco (jus extrait de la noix de coco rapée). Une fois tout bien ficelé, on met le paquet à cuire quelques heures soit au four, soit sur les braises dans un trou que l'on rebouche.

Ce soir là, c'était un bougna-poulet. Miam!

Le Parc de la Rivière Bleue 3

Le parc est très bien équipé en aires de camping, toilettes, aires de piquenique et abris pour attendre la navette. Il y a même des cabines téléphoniques solaires!

Des petits sentiers partent de la piste pour rejoindre la rivière.


Avec un peu de chance, on peut voir des cagous, animal symbole de la Nouvelle Calédonie, très protégé car vulnérable (il ne sait pas voler). Marie-France et Robin en ont vu un sur la piste mais pas moi avec mes lunettes pleines de pluie.

Le Parc de la Rivière Bleue 2

Nous trouvons un superbe endroit pour nous baigner dans une eau cristaline et déjeuner sur les galets.

Nous reprenons les vélos pour une nouvelle baignade dans un décor différent et de l'eau plus vive.

Voici des plantes carnivores dites gourdes du mineur ou néphantes.

Robin donne l'échelle de ce grand kaori vieux de 1000 ans et d'un diamètre de 2,7 mètres.

Le Parc de la Rivière Bleue 1

A 60 km à l'est de Nouméa se trouve le grand lac de barrage de Yaté rempli en 1959 dont les turbines alimentent Nouméa en électricité. Le parc de la rivière bleue en englobe une petite partie mais c'est surtout une réserve de faune et flore splendide.

On ne passe plus en voiture sur le pont Pérignon mais on peut emprunter la navette qui nous conduit tout au bout à l'ancien refuge.

La piste est large et en très bonne état mais assez glissante à cause de petites billes de fer/nickel qui font déraper à la plus grande joie de Robin.

Nous reviendrons un jour faire du canoé à la pleine lune au milieu de cette forêt imergée (chênes-gommes).

Vers les mines de la Tontouta 2

C'est l'occasion pour Robin de conduire dans les passages faciles et de prendre des photos le reste du temps. On ne peut s'aventurer sur cette piste que le week-end car d'énormes camions l'occupent toute la semaine.

Après une vingtaine de kilomètres dont les cinq derniers en lacets, on bute sur une barrière fermée et on se console avec le superbe point de vue et les couleurs dégradées de fin d'après-midi. En bas, on retrouve la pluie.

Vers les mines de la Tontouta 1

Voici la piste qui suit la rivière Tontouta vers les mines à ciel ouvert.

On rencontre quelques difficultés sur le parcours.


Le lendemain, une vingtaine de personnes n'ont pas pu repasser un gué et ont passé la nuit de l'autre côté en attendant la décrue...

La cathédrale de Nouméa 2

La charpente et les voutes d'ogives prévues en métal, coutaient trop cher et on donc été réalisées en kaori (bois local des régions minières). Des planches de 2cm d'épaisseur ont été patiemment cintrées, collées puis boulonnées selon la technique du lamellé-collé.












Le lutrin a été sculpté dans un seul bloc de cohu par des communards déportés.